Au cœur d’un match au rythme effréné, c’est l’équipe du Prince Albert qui a su tirer son épingle du jeu dans cette première partie de la confrontation. Face à Rennes, lors de la 28ème journée de Ligue 1, les Monégasques ont su prendre l’avantage, marquant le seul but de la mi-temps sur leur terrain du Stade Louis II.
Dans la clarté éblouissante de la Côte d’Azur, les joueurs monégasques ont dévoilé leur appétit dès les premiers instants. Un enchaînement de qualité orchestré par Golovin et Minamino a failli aboutir par une opportunité en or pour Fofana. Seul en position idéale, il a malheureusement vu son tir survoler la barre transversale. Ces signaux précurseurs de la part de Golovin, particulièrement inspiré dans la distribution du jeu, ont annoncé une domination certaine de Monaco, empêchant Rennes de construire ses actions.
À noter que l’efficacité des gardiens a été centrale durant cette première partie : Mandanda a su se montrer infranchissable face aux tentatives monégasques, notamment lorsqu’il sauve l’équipe d’une tête périlleuse de Kehrer issue d’un centre de Golovin. Ce n’était pourtant que l’échauffement pour Majecki, le gardien de Monaco, qui a réalisé des arrêts salvateurs face à Gouiri et Terrier, ce dernier étant stoppé alors que le ballon semblait inéluctablement filer sous la barre.
Les Rennais pourraient nourrir des regrets, car c’est au terme d’une offensive soudaine que Monaco a finalement trouvé la faille. Akliouche, idéalement placé, n’a pu que convertir avec succès une offrande de Jakobs. Le score, bien que serré, reflète la prestation technique de Monaco qui, par ce résultat partiel de 1-0, clôture une première mi-temps haletante et riche en enseignements.
Les ressources ne semblent pas manquer du côté de Rennes, dont les contres, exemplifiés par un sprint de Gouiri avant la pause, démontrent que la seconde partie promet son lot de rebondissements. Restez connectés pour suivre les évolutions de ce match qui s’annonce comme un ballet footballistique de haut vol.
Chaque équipe a une mi-temps pour tirer son épingle du jeu ; les spectateurs peuvent s’attendre à une suite tout aussi palpitante ! Rien n’est joué, et le suspense reste à son comble alors que le stade retient son souffle pour la suite des événements.